Virginie Efira juge le jury de la "NS"

Virginie Efira juge le jury de la "Nouvelle Star" après le premier prime

Comment s'en est sorti le nouveau jury lancé dans le feu du direct à Baltard ? Virginie Efira nous livre ses toutes premières impressions.

Mercredi 2 avril, iI est minuit. Le premier prime time de la Nouvelle Star en direct du Pavillon Baltard s’est terminé il y a peu. Virginie Efira, heureuse et soulagée d’en avoir terminé, arrive, radieuse, dans le carré presse VIP. Elle nous livre en exclusivité ses premières impressions. Avec en prime, une petite visite surprise de Julien Doré lors de notre entretien.

Alors Virginie, avez-vous connu le stress avant cette grande première ?
- Non… quoi que…. ok, je me suis réveillé à 4 h 30 du matin, seize heures avant l’émission (rires), mais, finalement, au cours de la journée mon corps a fait le reste, s’est détendu. Et la sensation de plaisir de replonger dans cette nouvelle aventure a repris le dessus peu à peu. Si bien qu’en arrivant à Baltard, le stress avait disparu.

D’ailleurs vous avez semblé très à votre aise. Encore plus que lors de la précédente saison…
- C’est vrai ? Merci. De toute façon, ce n’est pas une émission qui est basée sur l’ego. Ce n’est pas moi qui me mets en danger, ce sont les candidats et le jury qui le font…

Julien Doré, le lauréat de l’an dernier, venu assister à l’émission en coulisses, débarque, l’air coquin, s’installe sur l’accoudoir du fauteuil de Virginie et s’incruste dans la conversation. Virginie poursuit, espiègle et l’air faussement amoureuse…

- Depuis ma rencontre avec Julien l’année dernière, ça a produit quelque chose (Julien Doré acquiesce), j’ai découvert quelque chose en moi-même, une sorte de révélation. Et depuis nos regards ne sont plus les mêmes. Eclats de rires.

Julien repart, content d’avoir joué les trublions. On reprend sérieusement

- Je disais que le truc que j’aime le moins dans l’animation télé, c’est ce côté un peu propre qu’il faut avoir, et qu’il est important d’avoir pourtant. Là, j’ai moins utilisé le prompteur, j’avais la possibilité de bouger, je me suis sentie plus partie prenante du programme.

- Aviez-vous une appréhension vis-à-vis du jury avant ce premier direct ?
- Aucune. Il est sûr que j’ai respecté, au début, une certaine réserve vis-à-vis d’eux. Je ne suis pas quelqu’un qui rentre dedans. De toute façon, je n’arrive pas trop bien à me construire un personnage qui doit entrer dans un rôle. Je ne me dis pas : je dois être la grande sœur du jury ou être dans l’opposition, etc. Finalement, je suis restée naturelle. Et puis, avec ce jury-là tout s’est tout de suite super bien passé. Ils ont eu une attitude respectueuse vis-à-vis de moi, ne se sont jamais montrés supérieurs.

Commentez-nous leur première prestation, un par un. Philippe Manœuvre…
- Lui, je l'aime bien. Il est transparent, n’hésite pas à montrer son enthousiasme, à se lever pour donner son avis, pointer du doigt, c’est vraiment un personnage !

Lio ?
- C’est pareil, elle est libre, elle n’est pas dans un rôle. Elle est en empathie avec les candidats. Et elle vibre. Heureusement qu’elle est là.

Sinclair a paru très effacé…
- Oui, c’est amusant car lui qui a l'habitude de tailler, ce soir, il n’a pas eu beaucoup de place. Il a été dépassé par l’émotion en découvrant à Baltard les candidats qu’il a choisis personnellement. Je pense que, au fur et à mesure, tous vont se libérer. Ça va se fluidifier avec l’expérience.

Enfin, le rescapé, André Manoukian…
- Je le trouve changé, en bien. Il s’est découvert une grande complicité avec Philippe Manœuvre. Philippe est une force plus terrienne, lui plus spirituelle, ils se complètent bien.

C’était une nécessité de changer de jury ?
- C’était peut-être nécessaire à partir du moment où l’ancien jury a émis le souhait de faire autre chose. Or, dans cette émission, il faut garder le peps, l’authenticité, la fraîcheur. En tout cas, il y a un vrai changement d’humeur dans l’émission.


Vous pourrez retrouver dès lundi 7 avril, dans Télé 2 Semaines, notre reportage sur les jurés de la "Nouvelle Star".

Propos recueillis par Vincent Rousselet-Blanc - Télé 2 Semaines